Feux sauvages : distinguer le vrai du faux !
Les feux sauvages sont une affection commune, mais très désagréable. Pour vous aider à mieux comprendre cette maladie, on fait le point sur les mythes et les vérités qui l’entourent…
Feux sauvages, de quoi parle-t-on ?
Les feux sauvages, aussi appelés « herpès » ou « bouton de fièvre », sont une maladie virale provoquée par l’herpex simplex virus, de type 1 ou 2. L’herpès situé sur le visage est provoqué par le type 1. Ce virus s’introduit dans l’organisme par une lésion ou une muqueuse, puis peut rester silencieux pendant des mois, voire des années.
Lorsque le virus se réveille, les symptômes apparaissent. On ressent généralement une sensation de chaleur et des démangeaisons. Dans les heures ou jours qui suivent, des vésicules transparentes se forment, s’opacifient, puis se vident du liquide qu’elles contiennent. Une croûte apparaît et finit par tomber. Ce cycle de feux sauvages dure de 10 à 15 jours.
Ces lésions sont généralement situées autour de la bouche. Elles peuvent aussi se développer autour du nez, à l’intérieur de la bouche, sur le front ou sur les joues.
Le VRAI / FAUX de l’herpès
Les feux sauvages sont toujours contagieux
VRAI – L’herpès labial est contagieux dès l’apparition des picotements, et jusqu’à la disparition complète des symptômes. Il est possible de contaminer une autre personne, mais également de se contaminer soi-même !
Évitez donc tous contacts rapprochés avec votre entourage et ne touchez pas vos lésions.
Les symptômes apparaissent toujours après avoir contracté le virus
FAUX – Selon l’OMS, 3,7 milliards de personnes sont porteuses du virus de l’herpès type 1. Pourtant, une grande partie d’entre elles ne saura jamais qu’elle porte ce virus.
En effet, il peut rester en sommeil toute une vie, sans jamais provoquer de symptômes.
L’alcool soigne les feux sauvages
FAUX – Un remède de grand-mère consiste à appliquer une compresse imbibée d’alcool sur les lésions.
Si cette méthode peut assécher les vésicules, elle n’aide pas l’organisme à se débarrasser des symptômes et peut même laisser des cicatrices.
L’herpès ne disparaît jamais vraiment
VRAI – Une fois le virus de l’herpès présent dans l’organisme, il est impossible de s’en débarrasser. Il se loge dans les ganglions puis rentre dans une phase de « sommeil ».
Il peut ensuite provoquer des symptômes ponctuellement. On le voit souvent se manifester lors de phases de fatigue, de stress, ou en parallèle d’une autre maladie affaiblissant les défenses immunitaires.
Il existe des remèdes pour apaiser l’herpès
VRAI – S’il est impossible de se débarrasser du virus, il est tout de même possible d’apaiser les symptômes des feux sauvages. L’Homéopathie peut en effet vous aider à lutter contre l’infection.
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Le soleil et le froid favorisent la guérison
FAUX – Comme l’alcool cité plus haut, le soleil et le froid peuvent assécher les vésicules, mais n’aident pas à la guérison. Une exposition non protégée aux UV ou aux températures hivernales peut même être un facteur d’aggravation des symptômes.
Les antibiotiques sont nécessaires pour soigner les feux sauvages
FAUX – Les antibiotiques sont inefficaces contre le virus de l’herpès. Votre médecin pourra éventuellement vous prescrire un antiviral ou un antalgique. Vous pouvez compléter cette prescription par un traitement homéopathique.
Vous êtes désormais incollables sur les feux sauvages ! Pour apaiser les symptômes naturellement, adoptez le réflexe homéopathie dès que le virus pointe le bout de son nez.